Comment chiffrer un marché public sans se planter ?
- ACDMP
- 14 mars 2024
- 2 min de lecture
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Tu n’as pas de bureau d’études ? Pas d’ingénieur à disposition ? Pas grave. La plupart des TPE sont dans ce cas. Et pourtant, certaines cartonnent.
Le vrai sujet, ce n’est pas d’avoir des moyens démesurés, mais d’avoir une méthode solide, réaliste, reproductible.
Voici les 3 piliers pour chiffrer proprement un marché public, même sans BE :
1. 📂 Démarre toujours par les DPGF passés
Repère les anciens appels d’offres similaires (lieu, type de prestation, taille). Analyse leurs DPGF : c’est une mine d’or pour identifier les bonnes lignes, les ratios, les pièges.
👉 Tu peux les trouver dans les archives en ligne ou… via ton réseau. Chez ACDMP, on a une base de données partagée. C’est un gros raccourci.
2. 🧮 Utilise Batiprix intelligemment
Ne fais pas de copier-coller aveugle. Adapte chaque ligne à ta réalité : tes tarifs, tes charges, ton terrain.
➡️ Batiprix est un bon point de départ, mais il faut le croiser avec le réel. Le meilleur chiffrage, c’est celui qui t’engage… sans te cramer.
3. ⚖️ Sois stratégique, pas scolaire
Le chiffrage, ce n’est pas juste “être précis” : c’est envoyer un signal à l’acheteur.
→ Un prix trop bas = tu parais risqué→ Un prix trop haut = tu sors du jeu
L’objectif : un prix crédible, justifié, fluide. Pas parfait. Juste assumable et défendable.
💡 Chez ACDMP, on a une méthode clé en main pour ça. Pas besoin d’ingé, de logiciels ou de tableurs magiques. Juste une logique claire, et des outils adaptés à ta boîte.
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